Ces services sont détaillés ci-après.
Ces services sont détaillés ci-après.
En période de maintenance, l’anticipation SeADvance des pannes, sur le long terme des 24 mois ou + à venir, trouve 2 applications immédiates :
1 l’exécution de la juste maintenance (complémentaire à la maintenance constructeur préconisée ou réglementaire) pour effacer les pannes jugées rédhibitoires sur les 24 mois ou + de fonctionnement à venir
2 l’anticipation du juste besoin en maintenance & pièces de rechange pour assurer une disponibilité systématique des rechanges et du maintenancier la veille de la panne (pour le reste des pannes jugées non rédhibitoires sur les 24 mois ou + de fonctionnement à venir, i.e. les pannes que l’exploitant accepte d’avoir à réparer en période de fonctionnement).
SeADvance élimine ainsi le risque de pannes et de maintenances imprévues. SeADvance substitue ainsi aux maintenances imprévues la juste maintenance anticipée sur le long terme.
Pour un équipement donné, l’Effacement de l’Aléa de Panne est permis par le modèle permettant de modéliser le vieillissement de l’équipement.Le même modèle permet de délivrer les services complémentaires suivants.
En fonctionnement (ex : A320 en vol), le comportement prédit de l’équipement (sur les 24 mois ou + à venir) est réactualisé en temps réel, avec l’utilisation réellement faite de l’équipement depuis la sortie du dernier entretien.
La prédiction SeADvance du comportement de l’équipement (sur les 24 mois ou + à venir) est d’autant plus fiable.
La prédiction SeADvance du timing des pannes jugées non rédhibitoires (sur les 24 mois ou + à venir) est d’autant plus fiable.
En fonctionnement et pour un équipement (ex : pompe à carburant de l’A320 / n° de série) comportement prédit et comportement réel observé sont comparés en temps réel.
Le monitoring de l’écart permet de monitorer la fiabilité des prédictions délivrées par SeADvance quant au comportement long terme de l’équipement considéré (N° de série).
Le monitoring des écarts est centralisé en temps réel pour tous les équipements identiques en service (ex : pour toutes les pompes à carburant en services équipant les A320).
La fiabilité du modèle de vieillissement pour une série d’équipements identiques en service (ex : pompes à carburant équipant les A320) est ainsi monitorée.
En fonctionnement, en cas de dérive entre comportement prédit de l’équipement et comportement réel observé, un Red Flag est levé.
Est alors manifesté un doute quant à une hypothèse sous-jacente au modèle et à ses prédictions : la qualité de la dernière maintenance dont l’équipement a été l’objet (le modèle de vieillissement de l’équipement ayant été validé par ailleurs).
SeADvance permet ainsi une détection ‘early stage’ des défauts de la maintenance passée.
‘N’ pannes réparables en escale et acceptables ont été anticipées (ex : sur les 18 mois prochains mois de vols commerciaux de l’A320).
SeADvance indique l’utilisation max de l’installation globale (ex : l’A320) pour l’exclusion d’une ‘N+1’ ème panne (ex : sur ces 18 prochains mois) parmi les équipements électromécaniques supervisés de l’installation globale (ex : l’A320).
Suite à l’occurrence d’une panne avérée plus précoce qu’initialement prévu, SeADvance arbitre les pénalités respectives imputables à l’exploitant et au maintenancier 1 compte-tenu de l’éventuelle sur-utilisation depuis la dernière maintenance (au regard de l’utilisation initialement prévue et considérée dans les prédictions élaborées au moment de la dernière maintenance) et 2 compte-tenu de l’éventuel défaut de qualité de la dernière maintenance de l’équipement.
Par la simulation, SeADvance compare en effet l’échéance de panne réelle à ce que l’échéance de panne aurait été dans différents cas (a) qualité de maintenance nominale + utilisation conforme à l’utilisation initialement prévue (b) qualité de maintenance nominale + utilisation telle qu’elle a été effective depuis le dernier entretien. Les écarts entre échéance de panne réelle et échéances de panne simulées sont imputables, pour l’un, à l’exploitant, pour l’autre, au maintenancier ; ces écarts sont représentatifs des pénalités imputables aux deux acteurs.
Permis par la simulation, cet arbitrage des claims est d’autant plus objectif.
Ce service indique la durée de vie résiduelle de l’équipement.
La simulation permet en effet d’évaluer la durée de vie résiduelle de l’équipement considéré, pour autant de scénario d’entretien et d’utilisation futurs envisagés.
Evaluation spécifique au numéro de série de l’équipement (i.e. à son usure propre cumulée depuis la mise en service).
Ce service indique les tâches de maintenance (à l’échelle de 12, 24, 36 mois ou à l’échelle de la durée de vie résiduelle de l’équipement) qui optimisent la durabilité de l’équipement (ex : ratio optimisé entre durée de vie de l’équipement et coût total des tâches de maintenance qui auront permis pareille durée de vie).
Evaluation spécifique (i) au numéro de série de l’équipement (i.e. à son usure propre cumulée depuis la mise en service) (ii) ainsi qu’à l’utilisation future envisagée.
Pour un segment de marché donné et le profil d’utilisation associé de l’équipement, ce service customise les options de conception ou fabrication de l’équipement au profil d’utilisation pour optimiser la durabilité de l’équipement (ex : ratio optimisé entre durée de vie de l’équipement et coût total des tâches de maintenance à l’échelle de cette durée de vie).
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